Profil rare mais de plus en plus prisé, le growth hacker est aussi parfois difficile à cerner en termes de compétences idéales. Une des premières questions posées à propos du growth hacking est souvent : un growth hacker doit-il savoir absolument développer ?
Le growth hacker doit avant tout, avoir une large et plutôt bonne connaissance des technologies utilisées dans son produit. Ces connaissances vont lui permettre d’imaginer des solutions et envisager les tests des hypothèses envisagées.
Il lui faudra être néanmoins capable d’expliquer à des développeurs les détails techniques. Il doit donc pour cela en connaître les mécanismes, leurs limites, savoir s’en approprier le vocabulaire, et être capable de communiquer dans le même langage.
En plus de ces connaissances techniques, un growth hacker doit être orienté essentiellement sur la croissance, être passionné par ce qu’il fait, curieux, inventif et ouvert d’esprit.
Un growth hacker utilisera sa créativité pour émettre des hypothèses et son imagination pour créer les solutions qui vont porter ces hypothèses et les tester.
Il doit pour cela savoir analyser des données et être capable de penser « en dehors de la boîte » comme disent les américains, c’est-à-dire savoir s’écarter des sentiers battus et penser différemment.
Des compétences larges pour faire du growth hacking
Un growth hacker aura, dans l’idéal des compétences diverses comme :
- le copywriting
- le marketing digital
- l’analytics
- le développement front-end
- le développement back-end
- des connaissances en psychologie comportementale
Mais avant tout, c’est l’esprit d’entreprendre et l’esprit de conquête qui fera la différence. Au-delà d’une liste de compétences, le bon growth hacker sera celui qui aura l’envie mais aussi celui qui comprendra intuitivement son marché et le comportement de la clientèle.
C’est certes un profil complet, difficile à trouver mais finalement ouvert à chacun, à tous ceux qui veulent bien se donner les moyens d’apprendre, de comprendre et surtout d’essayer !
